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Merci de bien vouloir cliquer sur les “bulles” vertes dans chaque partie, pour apporter vos commentaires utiles à la réalisation d’un guide de la désinstitionnalisation par le Comité CDPH.
– Question de l’article 1 de la loi de 2005
– Etablissements avec hébergement qui facturent aux familles en cas d’absence (?) (pandémie)
A ) l’accès a un psychologue formé à l’autisme (et troubles/comorbidités associés) au CMP de mon quartier : si possible en visio conférence : n’ayant pas les moyens d’en payer un dans le privé, en plus d’un psychiatre.
B ) l’accès à un(e) accompagnant(e) formé à l’autisme pour mes éventuelles sorties et mes besoins journaliers (faire la cuisine, faire le ménage, le linge, la vaisselle)
C ) l’accès à des zones de “calme” en dehors de chez moi, où je pourrais m’extraire de la cacophonie ambiante si besoin était (et des odeurs/lumières de la rue, etc)
cf. A ) B ) C ) du point (i)
A ) Avoir accès à des interventions concrètes et formatrices spécifiques à leur(s) enfant(s)
B ) Avoir accès à un/des accompagnant(e)s formés à l’autisme en cas de non présence auprès de leur(s) enfant(s)
C ) les “rôles” découlent naturellement des besoins de l’individu concerné, d’où la nécessité de formation et des intervenant(e)s (accompagnant(e)s) mais aussi des parents : qui au delà de la connaissance de l’individu qu’est leur enfant : n’ont pas forcément connaissance des raisons qui peuvent impliquer x ou y trouble(s)/comportement(s) et ses déclencheurs.
Besoin de logement réellement autonome et indépendant (comme les autres gens)
– avec facilité d’accès aux services et à l’assistance spécialisés (à proximité, et/ou avec déplacement à domicile),
– avec totale liberté de choix (comme les autres) ;
– et en n’étant soumis à aucune contrainte, problème ou autorité provenant des prestataires de services d’assistance, en particulier sans être pénalisé par des considérations financières ou restrictions due à la mutualisation des services, qui doivent s’adapter à la personne et non l’inverse.
Problème de la privatisation de l’appât du gain : trouver une solution
(Plus les autistes et les personnes handicapées peuvent devenir autonomes et vivre en dehors de la mainmise de ces lobbies, moins ceux-ci gagnent de l’argent puisqu’ils n’ont plus à s’en occuper : c’est ce qui explique que l’autonomie des personnes, même si elle est affichée hypocritement comme finalité, est en fait la dernière de leurs priorités.)
Dans le domaine du handicap, l’Etat français ne fournit pas directement les services nécessaires (comme il le fait dans l’éducation “ordinaire”) mais il distribue de l’argent à des associations ou à des entreprises, ce qui crée des effets pervers car leur fonctionnement est basé d’abord sur une logique économique (pour payer des salaires et toutes sortes de “structures” et de choses très coûteuses, avec des intermédiaires et des fournisseurs, qui ne sont pas vraiment nécessaires.) Les associations sont crées essentiellement dans le but de capter de généreuses subventions. Les responsables de groupements d’associations s’arrangent pour influencer les politiques publiques pour… Read more »
Communication Améliorée et Alternative (https://fr.wikipedia.org/wiki/Communication_am%C3%A9lior%C3%A9e_et_alternative)
Vie en famille, comme les autres
En fournissant des services nationaux d’assistance socio-administrative accessibles à distance à tous les types de handicap (y compris pour les autistes qui utilisent l’écrit).
En fournissant des services nationaux d’assistance socio-administrative accessibles à distance à tous les types de handicap (y compris pour les autistes qui utilisent l’écrit)
Il faut lutter contre le système d’exploitation financière du handicap, et il faut faire des campagnes de sensibilisation de la société, en particulier auprès des familles de personnes handicapées pour qu’elles acceptent que leur parent différent vive avec elles, en équité.
Montrer aux contribuables que leur argent est gaspillé tout en servant à ségréguer et génèrer de la “perte de chance”.
Note : Quand je mets des “coeurs” sous les commentaires (dont les miens, nombreux ici), cela ne veut pas dire que je les “aime” mais simplement que je les ai pris en compte (mais pas forcément intégrés dans le texte), tous l’un après l’autre, lors de la rédaction de la contribution.
C’est donc une sorte de “pense-bête” pour ne rien oublier.